Les points clés :
Voici quelques pistes de réflexion
➡ En France, et pour soutenir les entreprises innovantes, il existe les CII et CIR. Ces crédits d’impôts permettent de récupérer une partie des dépenses liées à la R&D et à l’innovation. En vous assurant de remplir les critères d’éligibilité, vous pouvez réduire votre imposition de manière significative.
➡ Les statuts JEI et JEU permettent des exonérations fiscales et sociales aux entreprises répondant à des critères spécifiques d’innovation et de recherche. C’est un moyen efficace de diminuer une partie des charges pour les entreprises en phase de démarrage.
➡ Certaines start-ups peuvent bénéficier de taux réduits de TVA, de mécanismes de franchise ou d’exonération selon leur domaine d’activité, le lieu d’imposition de leurs opérations commerciales etc.
➡ L’utilisation de holdings permet de faciliter la gestion des flux financiers et d’optimiser la fiscalité liée aux dividendes, aux plus-values ou aux investissements.
➡ Des dispositifs tels que le PEA-PME ou les FCPI encouragent les investissements dans les PME et start-ups en offrant des avantages fiscaux aux investisseurs.
➡ Si votre start-up envisage un développement à l’international, il est également important de comprendre les conventions fiscales en place pour éviter la double imposition et maximiser les bénéfices.
🙂 En définitive, l’optimisation fiscale est un enjeu majeur pour les start-ups souhaitant accélérer leur croissance tout en préservant leurs ressources. Cependant, il est fondamental d’agir dans le respect des législations en vigueur pour éviter tout risque lié à la non-conformité.
Laurent PLENET (P&L Partners)